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18 juin 2024

Colloque sur le « surtourisme » : la FNHPA présente à la Sorbonne

18 juin 2024

La FNHPA était présente lundi 17 juin 2024 à la Sorbonne à l’occasion du colloque organisé sur la thématique du « surtourisme ». Pour son président Nicolas DAYOT, ce fut l’occasion de rappeler : Qu’il ne faut pas nier l’existence de pics de fréquentation, lesquels peuvent être traités avec des outils de gestion des flux modernes et adaptés. L’expérience touristique et la tranquillité des habitants y gagneront. L’action réente des pouvoirs publics en la matière est à saluer : https://presse.economie.gouv.fr/19062023-dossier-de-presse-gestion-des-flux-touristiques/ Qu’il faut, toutefois, lutter contre l’idée fausse, excessive et dangereuse selon laquelle le surtourisme serait partout. Par ce “serpent de mer”, on voudrait faire entrer notre secteur dans une spirale de décroissance et de déclin, à l’opposé des ambitions touristiques de notre pays. Les phénomènes de pics sont très localisés et ponctuels. Ce sujet doit être traité avec équilibre et nuance. La France a plus que jamais besoin de l’activité touristique pour assurer la vie économique de nombreux territoires. Elle est même souvent le premier pourvoyeur d’emplois. Le secteur de l’hôtellerie de plein air a déjà pris les devants via de nombreuses initiatives et engagements juridiques visant à préserver les paysages l’environnement et les valeurs sociales qui constituent notre ADN. En conclusion, le droit doit être facilitateur et rester en cohérence avec la réalité et les ambitions nationales. Or, dans le but de limiter sciemment la fréquentation, au risque de déclasser la France, le droit est de plus en plus instrumentalisé pour bloquer l’amélioration qualitative des établissements, voire pour réduire les capacités d’accueil. Ces initiatives autodestructrices doivent être combattues !

La FNHPA était présente lundi 17 juin 2024 à la Sorbonne à l’occasion du colloque organisé sur la thématique du « surtourisme ». Pour son président Nicolas DAYOT, ce fut l’occasion de rappeler :

Qu’il ne faut pas nier l’existence de pics de fréquentation, lesquels peuvent être traités avec des outils de gestion des flux modernes et adaptés. L’expérience touristique et la tranquillité des habitants y gagneront. L’action réente des pouvoirs publics en la matière est à saluer : https://presse.economie.gouv.fr/19062023-dossier-de-presse-gestion-des-flux-touristiques/

Qu’il faut, toutefois, lutter contre l’idée fausse, excessive et dangereuse selon laquelle le surtourisme serait partout. Par ce “serpent de mer”, on voudrait faire entrer notre secteur dans une spirale de décroissance et de déclin, à l’opposé des ambitions touristiques de notre pays. Les phénomènes de pics sont très localisés et ponctuels. Ce sujet doit être traité avec équilibre et nuance.

La France a plus que jamais besoin de l’activité touristique pour assurer la vie économique de nombreux territoires. Elle est même souvent le premier pourvoyeur d’emplois.
Le secteur de l’hôtellerie de plein air a déjà pris les devants via de nombreuses initiatives et engagements juridiques visant à préserver les paysages l’environnement et les valeurs sociales qui constituent notre ADN.

En conclusion, le droit doit être facilitateur et rester en cohérence avec la réalité et les ambitions nationales. Or, dans le but de limiter sciemment la fréquentation, au risque de déclasser la France, le droit est de plus en plus instrumentalisé pour bloquer l’amélioration qualitative des établissements, voire pour réduire les capacités d’accueil.

Ces initiatives autodestructrices doivent être combattues !

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